Des scientifiques de Chicago lient l'incapacité de reconnaître des odeurs simples (cuir, orange, poisson...) à un risque accrû de mortalité, dans une étude parue le 1er octobre 2014.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’odeur de la rose, du cuir, ou même du poisson peuvent s’avérer de précieux indicateurs de votre état de santé. C’est ce que révèle l’étude de chercheurs de l’Université de Chicago, publiée ce mercredi. Selon eux, les personnes plus âgées incapables d’identifier de simples odeurs ont un risque accru de mortalité dans les cinq ans.
PUERICULTURE
« Puéricultrice est l’un des seuls métiers infirmiers à la fois médical et médico-social »
DOSSIER
Infirmiers militaires, soignants de tous les fronts
RISQUES PROFESSIONNELS
Loi Rist : quels risques pour les IPA en termes de responsabilité médicale ?
VIDEO
"Vu de l’intérieur" : au cœur d’un service de grands brûlés - Episode 2