L’Académie de médecine, dans l’état actuel des connaissances, estime qu’il n’est pas possible d’imputer à cet adjuvant vaccinal, employé depuis de si nombreuses décennies, des troubles systémiques et neurologiques certainement plurifactoriels et d’évaluation délicate. La relation statistique n’est pas connue et on peut donc affirmer que le bénéfice des vaccins contenant un sel d’alumine est bien supérieur aux risques scientifiquement évoqués mais non prouvés.
Elle rappelle aussi combien la peur injustifiée des vaccins, surtout relayée par les médias, retentit rapidement sur la couverture vaccinale d’une population, ce qui serait hautement dommageable pour la prévention.
Serge CANNASSE
Rédacteur en Chef IZEOS
serge.cannasse@izeos.com
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