Les supposés effets bénéfiques d’une faible consommation seraient le fruit de biais dans la sélection des populations étudiées.
Aux épices pour la fièvre, blanc comme diurétique, rouge contre les maux de ventre… D’Hippocrate à Pasteur, les vertus médicinales du vin ont été chantées sur tous les tons. Puis la science a déniché un prétendu «French paradox», selon lequel une consommation modérée d’alcool serait bénéfique pour le cœur.
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