En chirurgie ambulatoire, on se fait opérer et on repart dans la journée. L’unité du centre hospitalier de Laval (Mayenne) a pris en charge 58 % des opérations effectuées en 2017 dans l’établissement. Derrière ce chiffre, des infirmières engagées. Un reportage avec photos qui met en lumière leur travail vient d'être publié par Ouest France.
Ici, la prise en charge est totale : on suit le patient depuis son entrée, le matin, à sa sortie, dans l’après-midi, et on y tient
, raconte Valérie David, quadra pétillante, tout en préparant les dossiers des trois patients déjà installés. Vers 7 h 30, Karine Roger et Magali Fouilleul viennent compléter le trio qui doit œuvrer jusqu’à 15 h 30.
On prend le temps de parler et d’écouter. Ce que nos collègues d’autres services n’ont plus beaucoup le loisir de faire.
Un adulte pour une hernie, une jeune fille aux tresses soignées pour une petite intervention au pied ou un très jeune garçon « beau comme un dieu » qui s’est mis de la pâte à modeler dans l’oreille : C’est la diversité qui fait l’intérêt de ce service, expliquent les infirmières, les journées ne se ressemblent jamais
.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site d'Ouest-France.
INTERNATIONAL
Infirmiers, infirmières : appel à candidatures pour les prix "Reconnaissance" 2025 du SIDIIEF
HOSPITALISATION A DOMICILE
Un flash sécurité patient sur les évènements indésirables associés aux soins en HAD
THÉRAPIES COMPLÉMENTAIRES
Hypnose, méditation : la révolution silencieuse
RECRUTEMENT
Pénurie d'infirmiers : où en est-on ?