Le bruit à un niveau trop fort a de multiples effets sur les hommes, les animaux et même sur la nature. C'est ce que souligne une étude publiée le 5 mai dernier dans la revue Science. Et celle-ci va même plus loin : le bruit affecte aujourd'hui des zones reculées autrefois épargnées comme les parcs nationaux américains.
Les hommes exposés à la pollution sonore ont plus de risques de développer des troubles de l'audition ou des accouphènes, mais ils sont aussi exposés à des troubles du sommeil plus ou moins importants, voire même, à des risques cardiovasculaires (provoqués par le stress dû au bruit excessif qui les entoure). Mais les humains ne sont pas les seuls à voir leur équilibre ainsi perturbé. L'étude pointe du doigt les effets néfastes du bruit sur les animaux sauvages notamment, dérangés dans leur quête de prédateurs. Certains animaux souffrent aussi d'hypervigilance, une réaction qui les pousse parfois à s'éloigner des lieux trop bruyants où ils vivaient. Enfin les plantes elles-mêmes payeraient un lourd tribut : le bruit compliquerait par exemple la pollinisation, cette fois selon une étude parue dans The Royal Society.
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