Le « peau à peau » réduirait le stress des jeunes mamans séparées de leur nouveau-né admis en soins intensifs. A condition d'opter pour la « méthode Kangourou ».
On savait déjà que le contact « peau à peau » entre la mère et les enfants prématurés profitait aux nourrissons, stabilisant le rythme cardiaque, la respiration et l'oxygénation du sang. Une nouvelle étude, repérée par Pourquoi Docteur ?, montre que ce « peau à peau » permet également de considérablement déstresser les mamans venant d'accoucher prématurément et dont l'enfant est admis dans une unité de néonatologie accueillant les prématurés.
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