Ce sont des épidémiologistes du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (dont le siège est à Stockholm, en Suède) qui le disent : le variant du SARS-CoV-2 baptisé VoC 202012/01
et repéré en Grande-Bretagne et détecté chez 10 à 15 cas en France (en Corse et sur le continent) pourrait représenter un risque élevé
pour l'Europe. Un scénario inquiétant que l'on doit à des expérimentations dont les modélisations préliminaires
montrent une forte association entre la présence de ce nouveau variant dans le Kent, les régions du sud-est de l’Angleterre et l’incidence en hausse de Covid-19
. Dans un document publié le 29 décembre, l'agence craint surtout la haute contagiosité de ce variant, qui pourrait avoir un impact plus élevé sur le nombre des hospitalisations et le nombre de morts
selon elle. A cette heure, aucune information sur des infections plus sévères
causées par ce virus mutant n'est disponible, même si Olivier Véran lui-même, ce matin sur les ondes de RTL, a reconnu ceci : c'est un variant qui nous inquiète et pour lequel nous déployons des moyens logistiques importants
.
Cliquez ici pour consulter le document mis en ligne par le Centre européen de prévention et de ontrôle des maladies.
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