Depuis deux ans, il y a une désaffection pour les deux formations d’infirmiers et d’aides-soignants. Pas seulement au niveau local, mais aussi national, régional. Tous les métiers du service sont d’ailleurs en recul, y compris les assistantes sociales. Auparavant, on faisait le plein d’élèves et nous avions des candidats sur les listes complémentaires, que l’on ne prenait pas. Désormais, on puise largement dedans pour faire quasiment le plein
, souligne Catherine Guillaumé, directrice de l’Institut de formation en soins infirmiers et de l’Institut de formation d’aides-soignants, du centre hospitalier de Cholet interviewée par Ouest-France.
Celle-ci donne son opinion sur la raréfaction dse candidats au concours d'infirmiers et d'aides-soignants. Apparemment, les candidats se bousculent moins, car la profession souffre d’une mauvaise image. Pourtant, selon elle, l’avenir, c’est l’infirmier qui devient aussi éducateur de santé, a un rôle majeur dans la prévention à l’hôpital et à l’extérieur. Les aides-soignants y ont également leur place, car la prise en charge, le rapport au patient évolue
.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site d'Ouest-France.
REFONTE DE LA FORMATION
L'idée d'un tronc commun en master hérisse les infirmiers spécialisés
ÉTUDES
D’infirmier à médecin : pourquoi et comment ils ont franchi le pas
VIE ÉTUDIANTE
FNESI'GAME : l'appli qui aide les étudiants infirmiers à réviser
PRÉVENTION
Des ateliers pour préserver la santé des étudiants en santé